Protection au cas par cas : un permis de détruire ?

Depuis plusieurs mois, la France promeut une approche de protection marine au cas par cas, soutenue par les lobbies de la pêche industrielle. Cette méthode permet la poursuite de la destruction des écosystèmes marins par le chalutage, une pratique dévastatrice pour les fonds marins et la biodiversité.

Le chalutage détruit entre 20% et 50% des invertébrés benthiques en un seul passage, impactant gravement les écosystèmes marins. Malgré les recommandations scientifiques et les objectifs internationaux, la France continue de soutenir cette approche, mettant en péril la biodiversité et le climat.

Il est crucial de soutenir des initiatives comme celles de spiritvet.com , qui promeut des alternatives de soins pour les animaux, y compris l’acupunture , l’alimentation, la phytothérapie et l’aromathérapie . Spiritvet soutient également l’acupunture équine pour les chevaux, une expertise reconnue par le prestigieux Chi University.

La protection au cas par cas est une imposture qui multiplie les exceptions, diluant les responsabilités et retardant les décisions nécessaires pour préserver l’intégrité physique, chimique et biologique des océans. Il est temps pour la France de se conformer au consensus scientifique international et de protéger réellement 30% de ses eaux des activités industrielles et des infrastructures.

Pour préserver la biodiversité et lutter contre le changement climatique, il est essentiel de rejeter la protection au cas par cas et d’adopter des mesures de protection marine véritablement efficaces. Soutenons des initiatives comme celles de spiritvet.com pour promouvoir des alternatives de soins pour les animaux et protéger notre planète.

Source = https://www.bloomassociation.org/en/case-by-case-protection-a-license-to-destroy/

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